25 ans après « Que restera-t-il de la présence de Renault à Billancourt ? ». Peu de choses pour se souvenir de la présence de ce qui fut l’un des berceaux de l’automobile : ni musée ni trace mémorielle
25 ans après « Que restera-t-il de la présence de Renault à Billancourt ? ». Peu de choses pour se souvenir de la présence de ce qui fut l’un des berceaux de l’automobile : ni musée ni trace mémorielle
Le présent document a une ambition très limitée : vérifier si le nombre de véhicules assemblés, en 2016, sur les sites de Renault en France est conforme aux engagements pris dans le cadre de l’accord de compétitivité du 13 mars 2013 et de celui du 17 janvier2017
Quelle que soit la solution retenue on pourra remarquer la confusion des rôles : monsieur Ghosn s’exprime-t-il et agit-il en qualité de PDG de Nissan ou Renault ?
La Cour des comptes dans son rapport, paru le 25 janvier dernier, sur l’Etat actionnaire revient sur la période d’avril à décembre 2015 au cours de laquelle le PDG de Renault et son conseil d’administration se sont opposés au ministre de l’Économie d’alors monsieur Emmanuel Macron.
Le texte est une réécriture a minima de l’accord d’entreprise il comporte, par exemple, une disposition emblématique des revendications de la direction, la fin des 35 heures chez Renault
Les synergies sont comme les trompe-l’œil sur les façades des immeubles : derrière il peut y avoir le pire ou le meilleur. L’instrumentalisation des synergies permet à Monsieur Carlos Ghosn de renforcer son pouvoir et de façonner l’alliance en diminuant l’influence du principal actionnaire, l’État français.
Sans nier l’importance pour les deux groupes d’optimiser leurs ressources et de profiter de toutes les opportunités possibles il aura lieu de se demander s’il n’y a pas inversion des valeurs
L’accord de stabilisation entre l’Etat français et le constructeur Nissan est avant une victoire pour Carlos Ghosn