Après huit mois d’un affrontement larvé entre Carlos Ghosn et l’État français, un armistice a été conclu sous la forme d’un « pacte de stabilisation » qui consacre la suprématie de Nissan.
Après huit mois d’un affrontement larvé entre Carlos Ghosn et l’État français, un armistice a été conclu sous la forme d’un « pacte de stabilisation » qui consacre la suprématie de Nissan.
Ce proverbe chinois est mis en exergue dans la conclusion du rapport d’audit rendu le lundi 11 avril 2011 dans la rocambolesque affaire d’espionnage qui secouât la direction de Renault en 2011. Carlos Ghosn s’en est, à l’époque, plutôt bien sorti